Il n'en manque pas une !
Notre président souhaitait que la loi sur la rétention de sûreté s'applique à des personnes condamnées avant la publication dudit texte ou pour des faits commis antérieurement à l'entrée en vigueur de la loi.
Le conseil "des sages" ne l'a pas entendu de cette oreille.
En grand démocrate, Sarkozy a voulu contourné l'avis du conseil constitutionnel qui fait normalement autorité, en saisissant le président de la cour de cassation. Saisissant !
Le président de ladite cour a indiqué qu'il ne saurait être question "de remettre en cause la décision du conseil constitutionnel".
C'est vraiment une semaine à la con pour Sarko....à vous casser le moral.