La mort d'Omar Bongo, le doyen des chefs d'Etat africains

Ce dimanche avant de rejoindre Morphée, j'apprends le décès d'Omar Bongo, le président du Gabon.

Le lendemain, je me lève, il n'était plus mort !
Il avait ressuscité, le bougre !
Un peu plus tard dans la journée, on apprend qu'il est mort, Bongo. Bingo ! 
C'est officiel cette fois ; il est cuit "le Omar".


Et dire que le ministre français de la Défense - Hervé Morin - avait été invité à réagir en direct sur les plateaux de télévision, lors de la soirée électorale, à la disparition de quelqu'un qui n'était pas mort.

Aujourd'hui, on apprend que selon l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing, Omar Bongo aurait financé la campagne électorale (présidentielle) de Jacques Chirac en 1981.

L'Afrique au secours de la France !

PS pour les jeunes lecteurs : VGE était président de la république française de 1974 à 1981 et non d'une quelconque amicale laïque.  Si vous ne saviez pas que VGE existait, vous saurez qu'à ce jour l'intéressé coule des jours heureux au pied de Vulcania . Parfois, il peut arriver au "vieux lion" de sortir de sa réserve auvergnate.