En pleine "affaire DSK", il est à redouter que la désignation du candidat socialiste à l'élection présidentielle relève davantage d'un processus déprimant que des "primaires".
En pleine "affaire DSK", il est à redouter que la désignation du candidat socialiste à l'élection présidentielle relève davantage d'un processus déprimant que des "primaires".